PHOTOGRAPHIE
ROMANCE D'UNE HOMME RICHE
Beiras: villages montagneux de la province

«C'était un homme très riche
qui a été veuve deux fois.
Il a épousé une pauvre femme
et quelle frayeur qu'il avait...»
JUEUS Tondela, mars/avril 2010
NOTRE DAME DE OUVIDA Monteiras, Castro Daire
Custilhão, Castro Daire
Moura Morta, Castro Daire
CÉLIA MATIAS (84) Moura Morta, Castro Daire
GUILHERME (80) et ILDA COSTA (78) Picão, Castro Daire
ÉGLISE-MÈRE Picão, Castro Daire
ÉGLISE-MÈRE Picão, Castro Daire
ÉGLISE-MÈRE Picão, Castro Daire
Maison de DIAMANTINO Mezio, Castro Daire
ÉGLISE-MÈRE Mezio, Castro Daire
ÉGLISE-MÈRE Mezio, Castro Daire
CHAPELLE DE NOTRE-DAME DE ANTAS Mezio, Castro Daire
JOAQUINA BRÍGIDA (94) Mazes, Lamego
JOAQUINA BRÍGIDA (94) Mazes, Lamego
JOAQUINA BRÍGIDA (94) Mazes, Lamego
ADOZINDA Mazes, Lamego
IDALINA Covas do Rio, S. Pedro do Sul
ANTÓNIO Jueus, Tondela
ANTÓNIO Jueus, Tondela
ANTÓNIO Jueus, Tondela
ANTÓNIO Jueus, Tondela
ANTÓNIO Jueus, Tondela
ANTÓNIO Jueus, Tondela
MONTAGNE DE CARAMULO Tondela
MONTAGNE DE ARADA S. Pedro do Sul
JOÃO et MARIA Covas do Monte, S. Pedro do Sul
JOÃO et MARIA Covas do Monte, S. Pedro do Sul
ALICE Covas do Monte, S. Pedro do Sul
LÀ SORTIE DES CHÈVRES DANS COVAS DO MONTE
À Covas do Monte tous les jours les 2500 chèvres qui là restent sortent de leurs étables pour partir en montagne. Dans ce petit village de S. Pedro do Sul (provence des Beiras), à l'intérieur central du Portugal, le peuple vit ici dans un grand isolement, au milieu des montagnes et des animaux.
Films
A TRAVERS LES CHEMINS DU MORT QUI TUA LE VIVANT...
Autrefois il n’y avait pas de cimetière au village de Pena, dans le canton de São Pedro du Sul, District de VISEU. Toute personne qui y mourût, devait être inhumée à Covas do Rio (juste en dessous de Covas do Monte), là où l’on amenait le cercueil, porté à la main, ou sur un brancard, à travers des chemins escarpés...
On raconte que durant un de ces funestes voyages, un des hommes qui portait le défunt glissa et le cercueil lui est tombé dessus… Ainsi, ce ténébreux raccourci devint pour toujours «le chemin du mort qui tua le vivant».
Est-ce vrai ou bien est-ce une légende, la réalité est que l’histoire reflète bien l’isolement dans lequel, aujourd’hui encore, l’on vit dans les petits villages aux majestueux coteaux et escarpes aiguisés des montagnes de Arada, de Saint Macário, de Caramulo et d’Estrela...

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